Le réveil sonne, Patrick l’arrête doucement et reste allongé, les yeux ouvert dans le noir. Pourquoi met
il son réveil ? Il ne travaille pas aujourd’hui….en fait il n’a plus de
travail, que c’est il passé ? Il essaie de se souvenir…Oui ça a commencer
il y a deux ans.
A l’époque Patrick était employé de bureau, oui ce n’était pas un travail très intéressant, mais cela lui permettait de vivre correctement et c’était un travail , son travail. Il avait
une copine, ils faisaient pas mal de projets ensemble, ils parlaient de maison,
d’enfants et même de retraite. Mais Julia est partie, le travail a disparu, les
rêves de Patrick avec. Faisons un saut en arrière avec Patrick rendez vous il y
a 2 ans.
Le réveil sonne, Patrick éteint vite son réveil pour ne pas réveiller Julia, il aime se lever en avance pour la regarder dormir, elle représente tout pour lui. Il prend sa douche, prépare le
déjeuner de Julia et laisse traîner un bol sur l’évier pour lui faire croire
qu’il a manger…depuis quelques temps Patrick ne peut plus rien avaler sans
vomir. Il est 8 heure et il est en retard, Patrick court dans la rue , attrape
un bus ,arrive en sueur au bureau , mais il est à l’heure. Toute la journée
Patrick se sent mal, il a mal au ventre, se sent faible, mais il a vu pire
Patrick. A la sortie du bureau, il fait un crochet par le fleuriste , achète un
bouquet de fleurs et rentre chez lui sous une pluie battante. Quelle idée
d’habiter en ville ! Les bus sont en grèves, le paysage n’est pas au
rendez vous et les gens ne sont pas des plus agréables…et comme si Patrick
n’avait pas eu sa dose de mal chance pour la journée, l’ascenseur est en panne,
et bien sur, il habite au quatrième étages ! Il monte donc les marches mal
lavés et se dit qu’il retrouvera Julia en haut, cette idée lui réchauffe le
cœur et transforme son visage, un sourire radieux l’illumine. Arrivé en haut,
il ouvre la porte tout essoufflé et trouve un post it : malheureusement
pour lui Julia est sortie avec des collègues. Patrick est abattu, se sent seul
et abandonné dans cette ville, que va t’il faire de sa soirée ? Il va
reprendre sa vie de jeune garçon, une douche, puis sur le canapé avec une, que
dis je, des bières et un bon livre.
Le lendemain il se réveil nauséeux couché sur le canapé, mais couvert d’une couverture, Julia est donc passé par la. Il se lève doucement et se dirige vers la chambre, mais Julia est déjà
partie travailler. Patrick redescend sur terre et se rend compte qu’aujourd’hui
il ne travaille pas. Il décide donc d’aller voir le médecin, il se prépare en
vitesse et sort de chez lui et tombe nez à nez avec la voisine du dessus, sa y
est il est bon pour une longue discussion sans aucun intérêt. Au bout de cinq
minutes, il s’excuse, en expliquant à Madame Komz qu’il est souffrant. Il
arrive enfin dans la salle d’attente et patiente une heure de pouvoir être
ausculter. Arrivé face au médecin, Patrick se sent mal, il n’a jamais aimé les
médecin et l’ensemble du corps médical…il explique ses problèmes gastriques, sa
fatigue, qu’il s’essouffle pour un rien, alors qu’il avait une condition
physique correcte. Le médecin l’écoute calmement, oui c’est ça que Patrick
n’aime pas, tu peux mourir devant eux et ils ne montrent aucun sentiment . Le
médecin regarde donc son carnet de santé, si on peut encore appeler cet amas de
papiers ainsi et fini par l’ausculter, lui prendre la tension, le peser, le
mesurer. Pas une parole, le médecin est encore plus silencieux que d’habitude
et va s’asseoir derrière son bureau et regarde Patrick fixement, l’air grave.
Patrick se demande se qu’il se passe, que veut dire tout ce cinéma et lorsque
le médecin commence a parler, la descente en enfer de Patrick commence. Le
médecin ne sait pas trop ce qui ne va pas, mais prend un air encore plus grave
et lui souhaite d’entre courageux. Patrick rentre chez lui tout penaud. Julia
est la et l’attend, Patrick s’arrête est la regarde, Julia est resplendissante,
il lui fait un petit sourire en coin et l’embrasse. Elle est inquiète, il le sent
dans son regard, mais elle ne dira rien, elle a toujours été réservée et n’a
jamais obligée Patrick à se confier et pourtant il se confie a chaque fois. Il
lui explique qu’il a rendez vous le lendemain a l’hôpital pour des examens plus
poussés. Elle sait qu’il déteste l’hôpital, mais elle sait aussi qu’il adore le
cinéma, c’est pour cela qu’elle lui propose de sortir bien qu’elle commence tôt
le lendemain. Julia essaye de le réconforter, de le faire rire. Le soir Julia
finit par s’endormir dans les bras de Patrick, elle s’est offerte a lui pour
lui faire plaisir, uniquement pour ça, il se sent mal et ajouter à son emploi
du temps du lendemain, c’est pour cela e le sommeil le fuit. Morphée finit par
l’accueillir dans le royaume des songes au matin.
Debout face au miroir de la salle de bain, Patrick se demande ce qu’il peut bien avoir et pourquoi ce satané médecin l’envoie a l’hôpital. Il s’habille tel un automate, sans
réfléchir, il est ailleurs, il se rend à l’hôpital machinalement. Une fois
arrivé devant le hall d’entrée, Patrick reste un instant face aux portes
vitrées, hésite, puis finit par franchir les portes. A l’accueil on le dirige
vers le second étage où il a rendez vous. Il regarde sa fiche de visite,
chouette menu se dit il, une prise de sang, suivit d’une radio et en dessert un
rendez vous avec un médecin qui n’est autre que le chef du service, on le
gatte ! On lui a sortie le grand jeu aujourd’hui, mais bon il ne peut leur
reprocher, c’est rare qu’il s’offre ce genre de petit plaisir et le meilleur,
tout ça aux frais du contribuables ! Apres une prise de sang où il a
failli vomir sur la pauvre infirmière, heureusement qu’il ne peut plus rien
avaler, sinon la pauvre infirmier aurait eu la droit a une douche… direction la
radio. Les festivité étant finit, on le fait patienter en attendant son rendez
vous avec le docteur. Deux heures plus tard, un homme grisonnant le fait entrer
dans son cabinet. Apres avoir lui aussi pris soin de l’examiner, retourne
s’asseoir derrière son bureau et lui annonce une chose, que dis je la
chose : Patrick est atteint d’un cancer… Pour une fois dans sa vie,
Patrick n’a pas planifié ce qu’il allait lui arriver, ce qu’il allait faire,
lui qui aimait tant tout organiser….la c’est une longue chute, il est seul sur sa
chaise, plus rien n’a d’importance. Les paroles du docteur le ramener à lui,
celui ci lui explique ce qui va se passer, la durée des traitements, les
conséquences sur sa santé immédiate et future. Tout déferle à une vitesse alors
insoupçonnée, il se retrouve dans la rue a marcher avec un papier lui donnant
rendez vous dans un hôpital inconnu le lendemain et à ce moment, la seule envie
que Patrick a est de se jeter sous les roues du premiers autobus passant….mais
ses jambes ne peuvent le porter plus loin et il finit par s’asseoir sur un banc
public où il restera de nombreuses heures à ruminer des idées noires. Patrick
se décide enfin à rentrer chez lui lorsque les reverbers commencent à
s’allumer. Il se lève péniblement les membres tout ankylosés et déambule a travers
les rues , Patrick se sent comme ces rues qu’il traverse, vide. Sa vie
ressemble à cette rue, qu’il quitte, oui c’est bien cela, petite, obscure et ne
possédant qu’un reverber : Julia, c’est bien cela,
Julia est la comme a chaque fois qu’il rentre un peu tard, assise sur le canapé tournée face à la porte, le visage fatigué et le regard interrogateur. Il s’approche doucement d’elle,
s’assoit et d’un coup lui déballe tous ce qu’il a sur le cœur, tout ce que le
médecin lui a craché a la figure et finit son monologue en explosant en
sanglots. Elle le regarde impuissante, le prend dans ses bras, le cajole, le
rassure comme elle peut. Elle lui promet de rester à ces côtés, lui demande si
il veut qu’elle l’accompagne le lendemain ,qu’elle prenne des vacances. Mais
Patrick refuse tout en bloc, se lève et part se coucher tout en entendant les
pleurs de Julia, qui passera la nuit sur le canapé.
Au matin, Patrick se lève mal à l’aise, ne vous êtes vous jamais levé le matin en ayant l’impression de sortir d’un mauvais rêve ? C’est le cas de Patrick aujourd’hui, mais celui ci est
vite rappelé à la réalité en voyant une couverture sur le canapé et en trouvant
un mot de Julia lui souhaitant bon courage pour cette journée. Du courage, oui
il en aura besoin…Il arrive donc a l’hôpital l’estomac contracté, les yeux
cherchant un soutient, n’importe lequel.. Il tombe dans celui d’une infirmière
qui vient le voir ,lui demande les raisons de sa présence et fini par le guidé
vers sa chambre. Il s’installe inquiet, et se demande pourquoi il est dans une
chambre, commence à tourner en rond et au moment où il aller sortir il tombe
face à face au médecin du service. Celui ci s’assoit sur le lit et lui explique
qu’il va devoir rester la une à deux semaines, le temps de faire des examens
plus poussé et de commencer au plus vite le traitement. Patrick affolé, la voix
nouée explique au médecin qu’il n’a pas d’affaire pour se changer, qu’il a un
travail, une femme qui l’attend… Le médecin le regarde et lui explique qu’il
est libre de faire ce qu’il veut, mais qu’il n’est pas atteint d’une simple
grippe, et qu’il doit se soigner pour lui, mais aussi pour les personnes qui
l’entourent. Cependant il lui permet de sortir le jour même après ses examens
afin de tout organiser, mais le préviens qu’il sera obliger de rester le
lendemain. Apres une journée passée dans les couloirs à attendre la prochaine
consultation, prise de sang, radiographie…Patrick peut enfin rentrer chez lui,
enfin aller directement voir son patron et lui expliquer qu’il doit prendre des
vacances.
En arrivant dans le bureau de son patron, Patrick ne sent pas à l’aise , il essuie donc un refus…c’est à ce moment que Patrick craque , s’effondre sur un siège, se prend sa tête dans ses mains
et explique sa situation. Patrick finit par démissionner, tout en bénéficiant
d’une prime donnée gracieusement par son chef… Voilà une chose de faite se dit
Patrick tout en préparant son sac, plus qu’à prévenir Julia. Chose qu’il fera
le soir même avec tellement de douceur, que Julia quittera l’appartement en
larmes. Ce sera la dernière fois qui la verra.
Puis il se passa plusieurs mois, une éternité pour Patrick. Une vie, ou plutôt une présence sur la Terre. Il passa tout son temps a l’hôpital, semaine après semaine suivant son traitement,
le subissant. Il se demandait même pas ce qu’on lui faisait, ni pourquoi. Il
perdit toute énergie, le seul fait de se lever et de marcher l’épuiser, son
état physique était semblable à son moral. On lui faisait des injections, une
multitudes de piqûres… Chimiothérapie après chimiothérapie, il ne les comptait
plus. Il perdit ses cheveux et son apparence, il perdit près de 15 kg…. Il
n’était plus qu’une ombre se baladant dans les couloirs désert de l’hôpital, au
bout de 2 mois il put enfin sortir, mais à quoi bon ? Julia n’était plus
la, sa famille osait à peine lui demander des nouvelles depuis qu’il les avait
envoyer sur les roses…
L’hôpital, les infirmières, les docteurs essaient devenu son monde et avait remplacé le travail et sa vie
sociale, qui à vrai dire était basée sur sa relation avec Julia. Maintenant il
essaie de survivre, il se demande tout les jours pourquoi, pour qui ? Mais
il a cette envie de vivre, cette joie si intense qu’il arrive a plaisanter avec
les infirmières, mais qui se referme de suite. Un psychologue vint le voir, car
depuis quelques jours ils ne pouvaient plus rien avaler sans tout revomir,
ajouter à cela la perte de ses cheveux qui fini d’achever son moral. Celui ci
ne vit que le dos de Patrick qui ne lui décrocha pas un mot, surtout ne jamais
parler à ces personnes qui décortique chacune de vos paroles… Le psychologue
put donc faire le chemin en sens inverse et sortir de la chambre.
Apres six mois de chimiothérapies et quelques opérations, son docteur lui annonça enfin la fin
des chimiothérapies…. Patrick commençait a se faire à l’idée qu’il puisse enfin
accéder a un bonheur relatif…. mais il n’y croyait pas et il avait raison, le
docteur lui dit qu’il allait «subir » des séances de radiothérapie…Quand
on a peur de la joie, il reste la douleur, cette citation convenait
parfaitement à Patrick.
Les réjouissances continuaient donc, quel veinard ce Patrick, nourri, logé et amusé gratuitement, au frais des
contribuables ! Il avait toute sortent d’amusements, il put bénéficier des
toutes dernières technologies, les même utilisées pour star wars, des rayons
lasers ! Il avait même la chance d’avoir des échographies, c’était donc
par la que passaient les femmes enceinte, des radios en j’en passe.
Bref encore deux mois à tirer, au moins ces cheveux repoussaient et il pouvait manger sans vomir, ou du moins
le peu qu’il ingurgité, son estomac le supporter. A la fin de ces deux mois qui
lui parurent presque agréable si on oublie les moments où il était en train de
s’amuser a refaire la guerre des étoiles, car on ne peut pas dire que cela soit
très agréable…la force obscure n’est pas si attirante que cela, bien que sa
puissance permettent a Patrick d’être soigné physiquement. Patrick organisait
sa vie par rapport aux rendez vous, mais au moins il pouvait retourner chez
lui.
La première fois qu’il pénétra dans son appartement, il lui parut vide et trop calme…Oui Julia était partie,
une bonne partie des meubles aussi…Cependant Patrick ne pouvait que s’en prendre
qu’à lui. Il réaménagea son petit appartement progressivement, si bien qu’à la
fin de son traitement il put enfin rentrer chez lui et se sentir vraiment bien.
Patrick se donna quelques mois pour reprendre une vie « normale », il se réhabitua à se lever, à
s’organiser une journée seul, aller se faire les courses…Bien qu’au debut, il
eut du mal a monter et descendre les quatre étages, mais progressivement il put
se balader et aller faire ses courses sans avoir d’horribles courbatures le
lendemain. Progressivement il se mit à chercher du travail, à recontacter
d’anciens amis et finit par avoir quelques entretiens. Mais à chaque fois il
essuyait un refus, heureusement que ses amis étaient moins difficile. Son
premier rendez vous avec eux eut lieu dans un bar, mais pas n’importe lequel,
celui où il avait vu pour la première fois Julia…Ce fut un moment pénible, mais
il le surpassa grâce à ses amis… bien que ceux ci ne se soient jamais présentés
à lui durant 10 mois…
A peine couché, Patrick sombra dans le sommeil, un sommeil de plomb. Au matin il se réveilla avec une bonne
gueule de bois, ce qui bizarrement le mit de bonne humeur, enfin il
vivait ! Il réitéra cela tout les soirs avec ses amis, ce qui lui permit
de faire la connaissance d’un petit chef d’entreprise qui cherchait justement
un employé, et voilà Patrick engagé.
Il avait enfin retrouvé un travail, des amis, une place dans la société, il avait
l'impression de vivre, un sentiment puissant que jamais il n'avait ressentie
avant. Il reprenait enfin confiance en lui. Durant trois mois, il ne fit que
travailler, sortir au bar et aller faire les courses, il vivait sa vie dans un
ordre parfait.
Un jour à sa grande surprise, il vit Emilie à la cafétaria où il mangeait
habituellement avec ses collegues. Quel surprise pour lui ! Emilie était une
vieille amie, même un peu plus lors de ses études... Lorsque celle ci
s'approcha de la table où Patrick mangeait avec ses collegues, ceux ci
resterent la bouche ouverte devant cette magnifique blonde qui sauta littéralement
dans les bras de leur camarade. Lorsqu'elle lacha enfin Patrick, elle lui
proposa de prendre la café avec lui à part ce qui vexa un peu tout les mâles de
la table. Lorsque PAtrick se leva pour aller regler la note et se precipiter au
travail, elle le rattrape par le bras et lui proposa de se voir dans deux jours
au restaurant, afin de pouvoir discuter plus tranquillement tout les deux....
Patrick rougit, accepta rapidement et au moment où il lui disait au revoir,
elle le sera dans ses bras et lui dit de ne pas oublier leur prochain rendez
vous. Patrick arriva au travail la tête dans les nuages, ce qui fit rire tout
ces colleges, autant vous dire que PAtrick ne passa pas un moment sans subir
les moqueries de ceux ci. Il passa deux jours sur son petit nuage, en faisant
des plan sur la comete, en s'imaginant au bras d'Emilie, d'enfin retrouver le
plaisir d'aimer, d'être aimer....
Enfin le jour J arriva, Patrick passa deux heures à se preparer, à se demander que
faire, que dire face à Emilie. L'heure avançait, et Patrick ne savait toujours
pas ce qu'il allait se mettre sur le dos, il finit pas choisir une simple
chemise et un jean...
En arrivant au restaurant, Emilie etait deja la, elle se leva à son arrivée, et le
pris dans ses bras. Ils s'asseyerent et parlerent de leurs souvenirs. Patrick
ne savait comment lui montrer, lui dire qu'il aimerait aller plus loin, il
attendait un geste de sa part...et ce moment se presenta enfin. Arrivé au
dessert, il y eut un blanc, elle le regarda et lui dit qu'elle avait quelque
chose d'important à lui dire. Patrick fit un petit sourir géné, et lui avoua
que lui aussi. Elle le regarda surprise et lui expliqua les raisons de son
invitation mis à part le plaisir de se revoir entre vieux amis. Patrick resta
sans voix, jamais il ne se serait attendu a cela, il etait à mille lieux de
cette raison. Elle le fixa en attendant un mot de sa part et la chose qu'il
avait à lui dire. Tout d'abord il la félicita pour son mariage et accepta son
offre d'être le témoin. Soudain il se leva , plaignant un mal de ventre, il lui
demanda de l'excuser , il paya l'addition , lui dit à bientôt et sortie en
vitesse du restaurant.
Avant de rentré chez lui il passa dans "son" bar et rejoignit ses amis. En
le voyant arriver, ils surent tous qu'il n'était pas dans son assiette, surtout
lorsqu'ils le virent boire verre sur verre. Cependant aucun d'entre eux ne lui
dit d'arreter ou essayerent de parler avec lui, ils lui offrirent juste une
presence, d'ailleur, c'est tout ce que recherchait Patrick
Il finit pas rentrer chez lui tant bien que mal, et la premiere chose qu'il fit
fut d'aller chercher un pack de biere et la seule bouteille d'alcool qu'il
avait : de la vodka. Quand le reveil sonna, Patrick se leva comme il put, son
pied poussant les cadavres de bieres qui gisaient au sol et se laissa tomber
sur la canapé. Il resta ainsi pendant trois heures à réflechir sur sa vie, sur
le sens de la vie, à repenser tout ce qu'il avait vécu, et vit sa vie comme
vide de sens : plus d'amis, plus de femme, un train train boulot, bar, dodo....
Il soupira, ouvrit la fenetre et sauta.